Jean Rigault l’aîné, et Perrine, sa femme, demeurant paroisse Notre-Dame-la-Riche, vendent à Pierre Guenyn, demeurant paroisse Saint-Pierre-le-Puellier dud. Tours
, une portion de jardin contenant 2 toises 1/2 de large sur 13 toises de long avec une maison « en maniere d’appentilz » dedans, joignant d’un long au jardin de Jean Rigault le jeune d’autre long au jardin de Jean Richart, charcutier, par derrière au jardin des héritiers de Pierre Bonnart, et devant à une petite ruelle qui va de dessus le pavé de La Riche
à aller en la rue de La Croix-Verte, sur le fief du trésorier de Saint-Martin, tant pour la somme de 7 sols 6 deniers t. de rente annuelle et perpétuelle, payables à Noël et à la Saint-Jean-Baptiste par moitié (premier terme payable à la Saint-Jean prochaine), que pour la somme de 4 livres payée en la présence des notaires, dont quittance.
Témoins Jean Fouquet et Marquet Delafousse.