Françoys Febvrier, marchand apothicaire (Saint-Pierre-du-Boile, Tours ) cède à sa belle-mère Marie de Boecy, veuve de Martin Mormant, marchand apothicaire, d’une rente annuelle de 33 s. 4 d.t. due par moitié par la veuve de Martin Joyse, couturier et par Pierre Bourbille, brodeur, à cause de deux corps de maison situés rue de La Scellerie (Saint-Vincent, Tours
). En échange de quoi, Marie s’engage à rembourser Françoys de la moitié des 26 l. 7 s.t. qu’ils ont payés pour acheter la rente.
Hugues Devictry, orfèvre, et Olivier Robert, fourbisseur, sont témoins.