Marie Delovrière, veuve de Guillaume Morand, marchand de draps de soie, demeurant à Saint-Jean d'Angély , mais native de Tours , donne 133 écus sols un tiers à ceux de la religion prérendue réformée, à répartir ainsi : 33 écus sols un tiers pour les pauvres de la dite religion, pareille somme poir l'entretien d'un proposant aux études de la dite religion pour parvenir au ministère d'icelle, et 66 écus deux tiers pour continuer la construction du temple. La somme totale est à prendre sur les 291 écus sols et 40 sols tournois dus à la dite Delovrière par Suzanne de Lavardin, femme du sieur de La Grange, demeurant à Noizay . [L'acte est rangé en 1603.]